RM ne sort jamais sans son Tripy, ça vous l’aurez compris … à moins que vous soyez juste tombés sur cette page sans voir le restant du site.
Que ce soit en moto, en voiture, … le Tripy est toujours là, sous les yeux, prêt à nous informer de la moindre note importante, sans devoir s’arrêter.
Même en VTT le Tripy est là, parce que savoir continuellement où on se trouve, le nom de la commune, qu’est-ce qui nous entoure, quel est le nom de la rivière qui passe en-dessous du pont (ou dans laquelle nous nous trouvons (lol)), le nom du château à gauche, la distance restante, la moyenne en déplacement, etc etc etc … tout cela est possible avec une App smartphone, un vulgaire fichier d’une trace .GPX et une carte OSM en couche de fond vous nous direz, oui, ok, mais avec le Tripy on ne doit pas s’arrêter pour consulter toutes ces infos. Il suffit juste de noter tout cela dans le roadbook avant de partir, grâce à Roadtracer. Et puis de toute façon on n’a pas encore vu un smartphone tenir, écran allumé et faisant travailler sans cesse le GPS, une journée complète. L’écran d’un mobile est également moins lisible que celui d’un Tripy; non, vous ne parviendrez pas à démontrer ce qu’on ne veut pas entendre ici 😆
Ensuite il y a l’application Tripy Mobile, cela faisait des lustres qu’on l’attendait celle-là … Une App capable de lire les fichiers .TRB, quel pied ! … en fait, nan … on est en train de rêver là, désolé de vous avoir fait sursauter sur place.
En fait, avec un Tripy, lorsque, subitement, vous tombez face à gros chêne couché devant vous et que le seul moyen d’encore avancer dans la journée est d’emprunter une déviation totalement improvisée, quand il s’agît de routes « normales » il y a moyen de retomber sur ses pattes roues, en dézoomant on parvient généralement à retrouver une route qui nous emmènera quelques waypoints plus loin. Mais en offroad (moto, 4×4, VTT, etc.) ce n’est pas vraiment le cas, hormis la boussole (intégrée au Tripy), vous n’avez plus aucun autre repère.
C’est pour cette raison que nous avons plusieurs appareils de navigation à bord. Dans notre cas, nous utilisons GPX Viewer PRO, grâce à cette application Android, nous ne perdons plus nos moyens lorsque nous devons chercher un itinéraire bis, en pleine nature. C’est comme si on avait une carte en papier continuellement sur nous, avec en prime la trace originale dessinée dessus. Bon, si lors de la déviation vous ne verrez pas le château de Dracula, c’est de la faute à personne, sauf à Dame Nature peut être.
Notons que si nous embarquons un second système de navigation en VTT, en l’occurrence le smartphone, il n’est pas allumé en continu comparé à une moto, une voiture, … où l’on a des prises USB de tous côtés. Un second appareil de navigation sert également à trouver une station essence en urgence, un camping ou un hôtel en cours de route, nous rendre au point de départ d’un roadbook (option dispo dans le Tripy II mais c’est assez fastidieux sans dire pour autant que ça ne fonctionne pas, bien entendu), etc.
Ceci clos le chapitre application externe au Tripy, qui ne lui fait pas de l’ombre, c’est juste pour l’accompagner, au cas où …