Bienvenue sur notre page dédiée au Tripy !

Nous n’avons aucun lien avec l’entreprise qui a conçu ce magnifique outil de navigation mais cela ne nous empêche pas de vous en parler en détails et de vous expliquer comment faire ceci ou cela, car oui, il y a bien une multitude de possibilités avec le Tripy Roadmaster et le logiciel Roadtracer.

Tout d’abord, c’est quoi ce fameux Tripy ?

Notons que chez Tripy ils disent que le Roadmaster désigne le Tripy 1 mais chez RM on a toujours appelé le lecteur de roadbooks « Roadmaster », qu’il s’agisse du modèle de première génération ou le second qui s’appelle simplement Tripy II.

 

Alors, ce Tripy vous intéresse ?

Voici le site officiel : www.tripy.eu
Vous pouvez l’acheter directement chez eux (attention les stocks sont à sec depuis la crise sanitaire, le manque de composants électroniques se font sentir chez eux également), où chez un revendeur tel que www.as-gps.be qui ne manquera pas de vous expliquer les bases de fonctionnement du produit et vous proposer de quoi l’attacher au guidon de votre moto, ou au pare brise des véhicules à 4 roues, etc.

Nous sommes tous d’accord concernant le prix de vente, c’est très cher, malgré tous les atouts dont il dispose, peut être que le prix d’achat des composants est aussi élevé, ça nous ne le saurons probablement jamais, donc le bénéfice du doute leur est laissé. Parfois, sur certains sites d’occasion, on peut trouver un Tripy 2 en seconde main, le prix avoisine généralement les 300€ (avec la ventouse, les boules et le ou les bras de fixations (Ram-Mount), le logiciel Roadtracer Pro (avec son n° de licence) et le câble USB pour recharger l’appareil ou transférer des fichiers roadbooks. Si tout cela ne fait pas partie de la vente, soyez prudents car tous ces accessoires coûtent bonbon.

Pour les personnes ayant la chance de disposer du lecteur de roadbook (Roadmaster) et le logiciel PC qui va avec (Roadtracer), voici un backup des principaux fichiers .PDF issus du site officiel (notons que cela peut être également instructif pour les gens qui ne connaissent pas du tout « Tripy ») :

Voici 3 vidéos, cela concerne la prise en mains de Roadtracer. On les a traduites (enfin, on a juste enregistré la traduction automatique apparaissant à l’écran !)  pour celles et ceux qui ne maitrisent pas la langue de Shakespeare, autrement dit l’anglais, une langue indo-européenne germanique originaire d’Angleterre qui tire ses racines de langues du nord de l’Europe dont le vocabulaire a été enrichi et la syntaxe et la grammaire modifiées par le français anglo-normand, apporté par les Normands, puis par le français avec les Plantagenêt 😅

  1. positionner le point de départ sur la carte
    dessiner la trace, ajouter les waypoints
    enregistrer le fichier roadbook
    éditer la trace et ajouter des notes
    travailler avec Gmaps en arrière-plan
    exporter le RB en version .PDF imprimable
  2. jouer avec les balises (offroad)
    partir d’une feuille blanche
    se baser sur une trace existante
  3. utilisation de l’outil en ligne Tripy Map Tool

Pensez à arrêter une vidéo avant de passer à une autre 😉

Nous en avons fini avec les promotions, documents & tutoriels officiels, voici ce que RM a réalisé pour la communauté des Tripystes

RM ne sort jamais sans son Tripy, ça vous l’aurez compris … à moins que vous soyez juste tombés sur cette page sans voir le restant du site.

Que ce soit en moto, en voiture, … le Tripy est toujours là, sous les yeux, prêt à nous informer de la moindre note importante, sans devoir s’arrêter.

Tripy voiture et moto

 

Même en VTT le Tripy est là, parce que savoir continuellement où on se trouve, le nom de la commune, qu’est-ce qui nous entoure, quel est le nom de la rivière qui passe en-dessous du pont (ou dans laquelle nous nous trouvons (lol)), le nom du château à gauche, la distance restante, la moyenne en déplacement, etc etc etc … tout cela est possible avec une App smartphone, un vulgaire fichier d’une trace .GPX et une carte OSM en couche de fond vous nous direz, oui, ok, mais avec le Tripy on ne doit pas s’arrêter pour consulter toutes ces infos. Il suffit juste de noter tout cela dans le roadbook avant de partir, grâce à Roadtracer. Et puis de toute façon on n’a pas encore vu un smartphone tenir, écran allumé et faisant travailler sans cesse le GPS, une journée complète. L’écran d’un mobile est également moins lisible que celui d’un Tripy; non, vous ne parviendrez pas à démontrer ce qu’on ne veut pas entendre ici 😆

Tripy VTT

 

Ensuite il y a l’application Tripy Mobile, cela faisait des lustres qu’on l’attendait celle-là … Une App capable de lire les fichiers .TRB, quel pied ! … en fait, nan … on est en train de rêver là, désolé de vous avoir fait sursauter sur place.

Tripy smartphone Android

 

En fait, avec un Tripy, lorsque, subitement, vous tombez face à gros chêne couché devant vous et que le seul moyen d’encore avancer dans la journée est d’emprunter une déviation totalement improvisée, quand il s’agît de routes « normales » il y a moyen de retomber sur ses pattes roues, en dézoomant on parvient généralement à retrouver une route qui nous emmènera quelques waypoints plus loin. Mais en offroad (moto, 4×4, VTT, etc.) ce n’est pas vraiment le cas, hormis la boussole (intégrée au Tripy), vous n’avez plus aucun autre repère.

C’est pour cette raison que nous avons plusieurs appareils de navigation à bord. Dans notre cas, nous utilisons GPX Viewer PRO, grâce à cette application Android, nous ne perdons plus nos moyens lorsque nous devons chercher un itinéraire bis, en pleine nature. C’est comme si on avait une carte en papier continuellement sur nous, avec en prime la trace originale dessinée dessus. Bon, si lors de la déviation vous ne verrez pas le château de Dracula, c’est de la faute à personne, sauf à Dame Nature peut être.

Notons que si nous embarquons un second système de navigation en VTT, en l’occurrence le smartphone, il n’est pas allumé en continu comparé à une moto, une voiture, … où l’on a des prises USB de tous côtés. Un second appareil de navigation sert également à trouver une station essence en urgence, un camping ou un hôtel en cours de route, nous rendre au point de départ d’un roadbook (option dispo dans le Tripy II mais c’est assez fastidieux sans dire pour autant que ça ne fonctionne pas, bien entendu), etc.

Ceci clos le chapitre application externe au Tripy, qui ne lui fait pas de l’ombre, c’est juste pour l’accompagner, au cas où …

Pour égayer vos roadbooks, RM vous donne la possibilité de télécharger toutes ses notes personnalisées jusqu’en 2017, ce qui a donné les Pictogrammes Tripy v1.0. Libre à vous de choisir quelques catégories uniquement ou le pack complet.

Ne surchargez jamais les notes d’un roadbook, uniquement celles qui seront lues à l’arrêt peuvent comporter beaucoup d’informations à l’écran, comme par exemple les horaires des ferries lorsque vous êtes sur le quai d’embarquement.

Attention, pour les quelques utilisateurs encore existants du Tripy 1, veuillez lire l’information ci-dessous.

Les roadbooks .TRB (format Tripy) disponibles sur notre site sont en grande partie compatibles pour les lecteurs de roadbooks Roadmaster 1, autrement dit les Tripy 1 (les anciens modèles donc). Il est bon de savoir qu’un fichier .TRB ne peut peser plus de 239 Ko, si le poids de ce dernier dépasse cette limite, le roadbook ne pourra être lu par le Tripy de première génération. Afin de diminuer le poids d’un fichier .TRB, à l’aide du logiciel Roadtracer, supprimez quelques décorations de notes qui vous semblent inutiles, sauvegardez le fichier et vérifiez son poids.
Une autre chose qui est toujours bonne à savoir, on ne peut installer que 20 roadbooks dans un Tripy 1, pas un de plus, et cerise sur le gâteau, la totalité des roadbooks ne peut dépasser les 2 Mb.

Si ça c’est pas de l’info … hein … merci qui ? (lol)

Maintenant que vous avez téléchargé tous les pictogrammes RM 🤣
voici comment ranger votre librairie de notes, cela vous facilitera la vie pour retrouver rapidement les notes que vous voudrez insérer aux différents waypoints du roadbook en cours de création.

Tout bon créateur de roadbooks devra disposer d’au minimum 2 écrans PC, d’un côté la librairie des notes ainsi que d’autres options comme montrées sur l’image ci-dessous :

Tripy fenêtres Roadtracer Pro

Si vous créez un ou deux roadbooks par an, un écran peut suffire, mais vous vous apercevrez assez rapidement qu’il vous manque de la place à l’écran pour faire du bon travail, sans trop s’arracher les cheveux.

Voici, ci-dessous, un aperçu du bureau RM sur deux écrans, naviguer dans les onglets de la librairie de notes toujours visible à l’écran est un réel plaisir, on ne met plus qu’un jour à créer un roadbook, au lieu de trois 😁

Ici, on vous explique comment créer facilement un roadbook. Le logiciel Tyre est devenu un peu obsolète depuis qu’on ne sait plus mettre Gmaps en carte principale (sauf si on a une clé API Google en poche). C’est dommage, mais pas de panique, on vous expliquera comment faire, plus tard, à l’aide d’autres sites. En attendant vous pouvez toujours utiliser Tripy Map Tool, qui lui a encore et toujours l’option Google Streetview, ce qui est la principale option manquante de Roadtracer en somme, un jour, il y a bien longtemps déjà, on leur a déjà demandé s’ils ne pouvaient pas l’intégrer à leur logiciel, ils ont répondu que ça ne risque pas d’arriver de si tôt ! 🤔 Par contre il paraît qu’ils ajouteront les cartes OSM à Roadtracer, en quelle année, ça c’est une autre question … Question suivante SVP 😌

A l’aide du logiciel Rodtracer, lorsque nous redessinons par dessus une trace .GPX (ou .KML), pour en faire un .TRB donc, on ne se souvient plus si à un tel endroit ou un autre il y avait un changement de nature du sol, ou s’il n’y avait pas de panneau d’interdiction etc., voici comment rapidement retourner voir sur Gmaps et, grâce à l’option Streetview, s’assurer si on ne doit pas détailler plus la note selon ce qu’on va y voir, ou revoir. Il faut bien entendu qu’un véhicule Google Streetview soit déjà passé à cet endroit.

En résumé : copier les coordonnées du waypoint, les coller dans la fenêtre de recherche de Gmaps, supprimer le tiret, appuyer sur la touche Enter, il n’y a plus qu’à tirer / glisser le petit bonhomme orange de Google Streetview à l’endroit désiré et observer les alentours.

Vous aurez probablement déjà remarqué que tous les roadbooks RM disponibles sur ce site sont assez bien détaillés, voici comment faire, assez aisément, pour inclure le nom de la commune où l’on se trouvera, à chaque waypoint. A noter que depuis la fusion de beaucoup de communes européennes, si vous mettez la carte Tele Atlas TVM Europe en couche de fond, vous pourrez insérer les noms des anciennes petites communes, voire des hameaux, pour plus de précision et avoir un roadbook didactique à souhait.

Désolé pour l’aspect un peu brouillon de tout ceci, mais à l’heure où sont écrites ces lignes, le réveillon de la St Sylvestre 2022-2023 arrive à de grandes enjambées et certaines autres choses doivent encore être fignolées avant d’enlever le bouclier et de vous faire, enfin, découvrir la nouvelle version du site Web Rando-Moto.be

Si vous êtes sages, d’autres informations et tutos suivront, surtout, par exemple, comment adapter un roadbook RM à vos besoins, modifier le point de départ, raccourcir une portion, rajouter un bout, modifier l’arrivée, … c’est facile quand on sait comment le faire, manque plus qu’à vous l’expliquer, mais ça ne se fait pas comme ça 😅

D’ores et déjà on vous souhaite une bonne visite du contenu déjà disponible, encore un peu de patience, disons 12 mois, et on pourra critiquer, pas avant ! 🤬 🤣

Merci pour votre compréhension.

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