Tous ces dénivelés sont calculés du point de départ au point d’arrivée.
↗️1000m : 1000 mètres de dénivelé positif.
↘️1000m : 1000 mètres de dénivelé négatif.
100m↕500m : le point le plus bas & le point culminant, en mètres. Lorsque ces données sont colorées, en voici les raisons avec quelques exemples :
-20m↕300m : 20 mètres en-dessous du niveau de la mer, cela peut arriver dans les Polders (max. -6.76m) ou lors de passages sous l’eau des fjords norvégiens (tunnel d’Eiksund, max. -264m).
500m↕1000m : entre 1000 et 1499 mètres d’altitude.
700m↕1500m : entre 1500 et 1999 mètres d’altitude.
900m↕2000m : à partir de 2000 mètres d’altitude et au-delà. Quelques exemples : la Route de la Cime de la Bonette (RM en 2015, RM en 2019), qui est la route goudronnée la plus haute de France, culmine à 2802m. Le Tunnel du Parpaillon (RM en 2015, RM en 2019), piste de gros cailloux, quant à lui, culmine à 2643m. Quelques hauts cols routiers des Alpes françaises : Iseran (2770m), Agnel (2744m), Bonette (2715m), Galibier (2645m), Izoard (2361m), Lombardie (2350m), Cayolle (2326m), Allos (2250m), … consultez la liste complète en cliquant ici. Il est toujours bon de savoir à quelle altitude nous allons rouler, puisque de fin septembre à fin juin on peut tomber sur des cols fermés pour des raisons d’enneigement, d’ailleurs le meilleur moyen de savoir si l’un ou l’autre col français est ouvert, c’est de cliquer ici. Aussi, le camping (ou bivouac) à certaines altitudes peut vite devenir contraignant si les températures descendent proche ou sous le zéro, pensez-y, il fait bien souvent meilleur dans les vallées. Par contre, afin d’éviter les désagréments de certains insectes (comme par exemple les midges en Ecosse), il est conseillé de planter sa tente en altitude et/ou où il y a du vent.
📈15.0m/km : dénivelé positif de 15 mètres par kilomètre (roadbooks VTT).
Les couleurs des dénivelés positifs (VTT uniquement) :
📈7.4m/km : moins de 7.5m/km, très peu de dénivelé, voire plat.
📈10.0m/km : de 7.5 à 10.0m/km, peu de dénivelé.
📈12.5m/km : de 10.1 à 12.5m/km, dénivelé normal.
📈15.0m/km : de 12.6 à 15.0m/km, dénivelé accentué.
📈20.0m/km : de 15.6 à 20.0m/km, dénivelé important.
📈30.0m/km : de 20.1 à 30.0m/km, dénivelé assez important.
📈40.0m/km : de 30.1 à 40.0m/km, dénivelé très important, vallées encaissées.
📈50.0m/km : de 40.1 à 50.0m/km, dénivelé très très important, montagneux.
📈69.0m/km : à partir de 50.1m/km, dénivelé extrêmement important, l’enfer.
Par exemple et pour donner une idée, l’ascension du Col du Parpaillon, depuis La Condamine-Châtelard a un dénivelé positif moyen de 87.6m/km, autrement dit … du 8.8%. Par contre, si on prend en compte la descente vers Crévoux ou tout simplement le retour à La Condamine-Châtelard (c’est mieux et plus facile pour retrouver son auto), le dénivelé positif moyen descend à 43.8m/km, c’est moins effrayant comme ça, et puis comme notre corps souffre dans les côtes, il profite des descentes pour récupérer, ce sont ces chiffres qui sont mentionnés sur les descriptions des roadbooks pour VTT. C’est juste un indice de difficulté, sans tenir compte de la forme physique personnelle et de l’état du sol (sec, mouillé, herbes, cailloux, racines, ornières, etc.).